D'abord membre du courant surréaliste, il choisit de s'en éloigner pour proposer une « poésie accessible pour tous ». Pendant la Seconde Guerre mondiale, il rejoignit la Résistance. Épris de liberté et de justice, Paul Éluard exprime dans sa poésie l'amour de la vie, des êtres et des choses qui lui sont chers, dans un langage simple.
Œuvres principales : Capitale de la douleur, 1926 ; les Yeux fertiles, 1936 ; Donner à voir, 1939.